Rencontre avec un coureur solidaire : Kaidi Hakim

Portrait Coureur Hakim Kaidi
Portrait Coureur Hakim Kaidi © MSF

Comment avez-vous découvert la possibilité d’obtenir un dossard par MSF ?

Sur le site de la SaintéLyon directement. Après avoir obtenu des renseignements auprès d'Alvarum, j'ai été très enthousiasmé à l'idée de pouvoir faire cette course pour une bonne cause et aussi de sensibiliser mon entourage à la mission de MSF.

Pourquoi avoir choisi Médecins Sans Frontières pour vous mobiliser lors de la SaintéLyon ?

Car je soutiens vos actions à travers le monde et avoir la possibilité de vous aider à collecter des fonds fut une idée géniale. Par ailleurs, j’ai été durant un certain temps un de vos porte-paroles et relais. Vos actions sont essentielles et pouvoir vous aider fut une expérience enrichissante.

Comment avez-vous fait la promotion de votre page de collecte ?

J’ai transmis mon lien de la campagne sur Twitter et sur Facebook. De plus, j'ai eu la chance d’être dans le journal de ma ville, avec un article qui m'a permis de communiquer encore un peu plus sur l’action que je menais pour MSF.

Avez-vous rencontré des difficultés pour atteindre votre objectif ?

Dire que ce fut simple serait mentir, mais pour autant, en communiquant beaucoup et en comptant sur mon entourage je me savais capable de récolter les fonds. J'ai surtout pris beaucoup de plaisir à le faire et beaucoup d’amis ont joué le jeu en transmettant mon lien à leurs proches.

Seriez-vous partant pour courir une nouvelle fois aux côtés de Médecins Sans Frontières ?

Je serais bien évidemment plus que fier de pouvoir courir une nouvelle fois pour MSF.

Quels seraient vos arguments pour convaincre une personne qui hésiterait à s’engager dans un challenge MSF ?

Mon principal argument serait de dire que votre action ne doit pas mourir et que notre collecte peut (en partie) vous aider dans votre combat de tous les jours.

Avez-vous une anecdote à partager sur l’entraînement, votre course ou votre collecte ?

Avoir la possibilité de promouvoir votre action sur le journal local de ma ville fut quelque chose de géant. Il arrive souvent (encore aujourd'hui) que je croise des inconnus qui me disent que je peux être fier de ce que j’ai réalisé.

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