Gaza : comment l’armée israélienne a
assiégé et attaqué l’hôpital Nasser
Fonds d'urgence
Grâce à vous, nos équipes interviennent en urgence auprès des populations qui en ont le plus besoin, partout où nous agissons.
Gaza : comment l’armée israélienne a
assiégé et attaqué l’hôpital Nasser
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Médecins Sans Frontières (MSF) ouvre en urgence de nouveaux centres nutritionnels, au Sud de l’Ethiopie, pour soigner les nombreux enfants souffrant de malnutrition grave.
Fatuma: Il n’y a pas eu de récolte depuis six mois, pas de maïs, pas de pommes de terre. Pas de pluie. Cette année, nous n’arrivons pas à nous en sortir: nous manquons de nourriture.
Amina: Nous n’avons pas de terre à cultiver. Mon mari travaillait comme journalier, il surveillait la nourriture dans les fermes, mais comme cette année les cultures n’ont rien donné, il n'a pas eu de travail. Cela fait six ou sept ans que nous avons du mal à trouver à manger, mais cette année est la pire.
Une mère: Notre gros problème, c’est qu’il ne pleut pas. Avant de venir ici, nous ne mangions que du maïs. J’avais l’habitude de vendre des bricoles au marché, et d’acheter à manger avec ce que cela me rapportait, mais les prix ont beaucoup augmenté. Cette année est particulièrement difficile. J’aimerais rentrer chez moi, mais nous n’avons rien à manger à la maison. Nous n’aurons que la nourriture qu’on nous donne.
Mohamed: Mes deux enfants sont malades. Normalement, je cultive assez de nourriture pour subvenir aux besoins de ma famille, des pommes de terre, du maïs, du blé et des bananes d’Abyssinie. Je n’avais pas d’argent pour emmener mes enfants à l’hôpital, j’ai dû emprunter pour les amener ici. La nourriture va pouvoir pousser quand il pleuvra, mais nous ne savons pas combien de temps ça prendra.
Médecins Sans Frontières (MSF) ouvre en urgence de nouveaux centres nutritionnels, au Sud de l’Ethiopie, pour soigner les nombreux enfants souffrant de malnutrition grave.
Fatuma: Il n’y a pas eu de récolte depuis six mois, pas de maïs, pas de pommes de terre. Pas de pluie. Cette année, nous n’arrivons pas à nous en sortir: nous manquons de nourriture.
Amina: Nous n’avons pas de terre à cultiver. Mon mari travaillait comme journalier, il surveillait la nourriture dans les fermes, mais comme cette année les cultures n’ont rien donné, il n'a pas eu de travail. Cela fait six ou sept ans que nous avons du mal à trouver à manger, mais cette année est la pire.
Une mère: Notre gros problème, c’est qu’il ne pleut pas. Avant de venir ici, nous ne mangions que du maïs. J’avais l’habitude de vendre des bricoles au marché, et d’acheter à manger avec ce que cela me rapportait, mais les prix ont beaucoup augmenté. Cette année est particulièrement difficile. J’aimerais rentrer chez moi, mais nous n’avons rien à manger à la maison. Nous n’aurons que la nourriture qu’on nous donne.
Mohamed: Mes deux enfants sont malades. Normalement, je cultive assez de nourriture pour subvenir aux besoins de ma famille, des pommes de terre, du maïs, du blé et des bananes d’Abyssinie. Je n’avais pas d’argent pour emmener mes enfants à l’hôpital, j’ai dû emprunter pour les amener ici. La nourriture va pouvoir pousser quand il pleuvra, mais nous ne savons pas combien de temps ça prendra.
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Communiqué de presse
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