Afrique du Sud : auprès des migrants fuyant la violence (Juin 2008)

Une flambée de violence dirigée contre les migrants venus des pays voisins s’est propagée dans les régions de Gauteng du Cap Ouest et du Kwa Zulu Natal il y a un mois. Plus de 50 personnes ont été tuées lors de ces attaques.Photo Erin Trieb
 
<p>Une flambée de violence dirigée contre les migrants venus des pays voisins s’est propagée dans les régions de Gauteng, du Cap Ouest et du Kwa-Zulu Natal il y a un mois. Plus de 50 personnes ont été tuées lors de ces attaques.<br />Photo Erin Trieb</p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p>

Une flambée de violence dirigée contre les migrants venus des pays voisins s’est propagée dans les régions de Gauteng, du Cap Ouest et du Kwa-Zulu Natal il y a un mois. Plus de 50 personnes ont été tuées lors de ces attaques.
Photo Erin Trieb

 

 

 

 

 

Il y a plus de 80.000 déplacés suite à ces attaques. Dans un premier temps, les déplacés ont trouvé refuge dans des commissariats, des centres communautaires, des églises et des mosquées.
Photo Erin Trieb

Bianca Tolboom, infirmière MSF. « Nos patients nous racontent qu’ils se sentent pris au piège et que personne n’arrive à les protéger. »
Photo Luis Encinas/MSF

A Johannesburg, la plus grande ville d’Afrique du Sud, des milliers de personnes cherchent un abri et la sécurité. Des étrangers africains font la queue avant de s’installer provisoirement sous des tentes, à côté de la banlieue de Germiston, le 2 juin 2008.
Photo Erin Trieb

Les autorités sud-africaines ont mis en place six camps mais les conditions ne sont pas adaptées pour l’accueil des milliers de déplacés.
Photo Jean-Marc Jacobs/MSF

Des retours vers les pays d’origine, notamment le Mozambique, ont été organisés. De nombreux migrants se cachent, par peur d’être renvoyés dans le pays qu’ils avaient fui. Parmi les étrangers africains présents en Afrique du Sud, les Zimbabwéens sont particulièrement vulnérables. Ils n’ont pas de statut légal en Afrique du Sud.

Les nuits sont froides et les abris ne protègent guère. La moitié des consultations médicales données par MSF concernent des infections respiratoires.
Photo Jean-Marc Jacobs/MSF


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Une flambée de violence dirigée contre les migrants venus des pays voisins s’est propagée dans les régions de Gauteng, du Cap Ouest et du Kwa-Zulu Natal il y a un mois. Plus de 50 personnes ont été tuées lors de ces attaques.
Photo Erin Trieb

 

 

 

 

 

Il y a plus de 80.000 déplacés suite à ces attaques. Dans un premier temps, les déplacés ont trouvé refuge dans des commissariats, des centres communautaires, des églises et des mosquées.
Photo Erin Trieb

Bianca Tolboom, infirmière MSF. « Nos patients nous racontent qu’ils se sentent pris au piège et que personne n’arrive à les protéger. »
Photo Luis Encinas/MSF

A Johannesburg, la plus grande ville d’Afrique du Sud, des milliers de personnes cherchent un abri et la sécurité. Des étrangers africains font la queue avant de s’installer provisoirement sous des tentes, à côté de la banlieue de Germiston, le 2 juin 2008.
Photo Erin Trieb

Les autorités sud-africaines ont mis en place six camps mais les conditions ne sont pas adaptées pour l’accueil des milliers de déplacés.
Photo Jean-Marc Jacobs/MSF

Des retours vers les pays d’origine, notamment le Mozambique, ont été organisés. De nombreux migrants se cachent, par peur d’être renvoyés dans le pays qu’ils avaient fui. Parmi les étrangers africains présents en Afrique du Sud, les Zimbabwéens sont particulièrement vulnérables. Ils n’ont pas de statut légal en Afrique du Sud.

Les nuits sont froides et les abris ne protègent guère. La moitié des consultations médicales données par MSF concernent des infections respiratoires.
Photo Jean-Marc Jacobs/MSF


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