Gaza : comment l’armée israélienne a
assiégé et attaqué l’hôpital Nasser
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Depuis 2015, Médecins Sans Frontières prend en charge les victimes de violences sexuelles à Port-Harcourt, dans le sud du Nigeria.
Les équipes de Médecins Sans Frontières soignent les victimes de violences sexuelles dans deux centres spécialisés à Port-Harcourt, dont l’un est ouvert 24 heures sur 24, et sensibilisent les populations sur ces violences.
Les équipes de Médecins Sans Frontières étaient présentes à Port-Harcourt entre 2005 et 2013 dans l’hôpital de Teme, spécialisé dans la traumatologie. Pour répondre au problème des violences sexuelles, très répandues à Port-Harcourt, Médecins Sans frontières a décidé en 2015 d’ouvrir un centre pour offrir une prise en charge globale aux victimes de violences sexuelles de cette ville, puis a ouvert un deuxième centre à Port-Harcourt en 2017. Les équipes de MSF accueillent en moyenne 120 personnes victimes de violences par mois dans les deux centres, dont plus de 60 % sont mineures.
Médecins Sans frontières offre une prise en charge globale aux victimes de violences sexuelles dans deux cliniques de Port-Harcourt.
Cette prise en charge comprend la prophylaxie contre le VIH et les maladies sexuellement transmissibles, la vaccination contre le tétanos et l’hépatite B, une contraception d’urgence, du conseil, de l’écoute et un soutien psychosocial.
Depuis 2016, des campagnes de sensibilisation et d’information sur les services offerts par MSF sont régulièrement menées dans des lieux comme les universités, les écoles, les commissariats de police, les cliniques et sur des radios locales, ce qui a eu pour effet d’accroître la fréquentation du centre de Médecins Sans Frontières.
Face à cela, MSF a ouvert en 2017 un second centre puis, en 2018, a ouvert 24 heures sur 24 le premier centre.
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