Gaza : comment l’armée israélienne a
assiégé et attaqué l’hôpital Nasser
Fonds d'urgence
Grâce à vous, nos équipes interviennent en urgence auprès des populations qui en ont le plus besoin, partout où nous agissons.
Gaza : comment l’armée israélienne a
assiégé et attaqué l’hôpital Nasser
Grâce à vous, nos équipes interviennent en urgence auprès des populations qui en ont le plus besoin, partout où nous agissons.
A Al Talh, MSF prend en charge les blessés après la reprise des combats dans la région de Saada. Les activités se déroulent dans une situation sécuritaire très complexe. Récit d'un anesthésiste de retour du Yémen.
La guerre déclarée entre l'armée yéménite et la rébellion Al-Houthiste dans la région de Saada rentre dans sa quatrième semaine.
De violents combats se poursuivent notamment autour de la ville de Saada, le long de l'axe routier Saada-Baqim et, plus à l'ouest, autour de Haydan et Al Malaheed.
Arnaud Drouart, médecin anesthésiste, raconte le déroulement des activités et la prise en charge des blessés dans l'hôpital d'Al Talh au cours des dix premiers jours de la guerre, pendant que les combats faisaient rage autour de la ville.
Entre le 11 août et le 2 Septembre dernier, 515 consultations d'urgence ont été effectuées dans cet hôpital dans lequel MSF intervient depuis avril 2008.
Quelque 120 interventions ont été réalisées par notre équipe chirurgicale. Environ les deux tiers étaient liées au conflit en cours.
ARTICLE
15 septembre 2009 Yémen l'arène de Saada Sur Libération.fr ARTICLE 17 août 2009 Yémen - MSF porte secours aux victimes d'une nouvelle guerre ARTICLE 10 août 2009 Yémen - Elargir l'accés aux soins pour les populations CARTE Carte de nos activités au Nord du Yémen VIDEO Mai 2009 Yémen - Soins primaires et chirurgie |
MSF est la seule organisation médicale internationale qui a pu continuer son travail dans la région après le début des hostilités.
Nos activités dans les hôpitaux de Razeh et Al Talh se poursuivent, mettant tout en oeuvre pour rester au plus près de la population tout en assurant la sécurité des patients et des équipes médicales. Ainsi, une partie de notre personnel expatrié a été évacuée, et les déplacements sont réduits.
Les équipes ne peuvent guère se déplacer en raison de l'insécurité et n'ont pas pu évaluer de façon exhaustive et détaillée les conséquences des combats et la possibilité d'un accès aux soins pour la population.
Voir le diaporama et écouter l'interview d'Arnaud Drouart, médecin
anesthésiste, de retour d'une mission d'un mois au Yémen.
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Communiqué de presse