Sud-Darfour - Soigner la malnutrition à Adila

La région d'Adila à la frontière est du Sud Darfour est une zone profondément marquée par le conflit en cours. Depuis plus de quatre ans du fait de l'insécurité les populations vivant ici sont restées isolées du système de l'aide et n'ont reçu
<p>La région d'Adila, à la frontière est du Sud-Darfour, est une zone profondément marquée par le conflit en cours. Depuis plus de quatre ans, du fait de l'insécurité, les populations vivant ici sont restées isolées du système de l'aide et n'ont reçu aucune assistance humanitaire significative.</p> <p>© Julie Damond/MSF</p>

La région d'Adila, à la frontière est du Sud-Darfour, est une zone profondément marquée par le conflit en cours. Depuis plus de quatre ans, du fait de l'insécurité, les populations vivant ici sont restées isolées du système de l'aide et n'ont reçu aucune assistance humanitaire significative.

© Julie Damond/MSF

Au conflit s'ajoute d'autres facteurs rendant le quotidien des populations difficile. Ce groupe de femmes explique : « En plus de la guerre, il n'y a pas eu assez de pluie, et les insectes ont dévasté, l'année dernière, le peu qu'il restait dans les champs. »

© Julie Damond/MSF

Augmentation du prix de la nourriture, mauvaises récoltes et conséquences du conflit... Autant de facteurs affectant durement la situation nutritionnelle des populations, notamment les enfants en bas âge.

© Julie Damond/MSF

De mai à octobre, c'est le moment le plus critique pour les populations ; cela correspond à la période qui s'étend entre deux récoltes. La nourriture se raréfie, en quantité et qualité, dans les foyers.


© Julie Damond/MSF

A Adila, MSF ne traite pas seulement la malnutrition sévère. Les critères d'admissions dans le programme sont plus larges. Tous les enfants de moins de 5 ans modérément malnutris sont également pris en charge.

© Julie Damond/MSF

Pour tous les enfants admis dans le programme, chaque mère reçoit 5 kilogrammes de millet et 1 litre d'huile par semaine, le temps du traitement ; une manière d'apporter une aide aux familles dont la situation alimentaire est la plus préoccupante.

© Julie Damond/MSF

Au mois d'octobre, les activités de MSF se sont interrompues. La période la plus critique est arrivée à son terme, et les nouvelles récoltes sont là.

© Julie Damond/MSF

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La région d'Adila, à la frontière est du Sud-Darfour, est une zone profondément marquée par le conflit en cours. Depuis plus de quatre ans, du fait de l'insécurité, les populations vivant ici sont restées isolées du système de l'aide et n'ont reçu aucune assistance humanitaire significative.

© Julie Damond/MSF

Au conflit s'ajoute d'autres facteurs rendant le quotidien des populations difficile. Ce groupe de femmes explique : « En plus de la guerre, il n'y a pas eu assez de pluie, et les insectes ont dévasté, l'année dernière, le peu qu'il restait dans les champs. »

© Julie Damond/MSF

Augmentation du prix de la nourriture, mauvaises récoltes et conséquences du conflit... Autant de facteurs affectant durement la situation nutritionnelle des populations, notamment les enfants en bas âge.

© Julie Damond/MSF

De mai à octobre, c'est le moment le plus critique pour les populations ; cela correspond à la période qui s'étend entre deux récoltes. La nourriture se raréfie, en quantité et qualité, dans les foyers.


© Julie Damond/MSF

A Adila, MSF ne traite pas seulement la malnutrition sévère. Les critères d'admissions dans le programme sont plus larges. Tous les enfants de moins de 5 ans modérément malnutris sont également pris en charge.

© Julie Damond/MSF

Pour tous les enfants admis dans le programme, chaque mère reçoit 5 kilogrammes de millet et 1 litre d'huile par semaine, le temps du traitement ; une manière d'apporter une aide aux familles dont la situation alimentaire est la plus préoccupante.

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Au mois d'octobre, les activités de MSF se sont interrompues. La période la plus critique est arrivée à son terme, et les nouvelles récoltes sont là.

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