Gaza : comment l’armée israélienne a
assiégé et attaqué l’hôpital Nasser
Fonds d'urgence
Grâce à vous, nos équipes interviennent en urgence auprès des populations qui en ont le plus besoin, partout où nous agissons.
Gaza : comment l’armée israélienne a
assiégé et attaqué l’hôpital Nasser
Grâce à vous, nos équipes interviennent en urgence auprès des populations qui en ont le plus besoin, partout où nous agissons.
Depuis février 2015 la région de Diffa au Niger est devenue la cible d'attaques de l'Etat Islamique dans les Provinces d'Afrique de l'Ouest, connu sous le nom de Boko Haram. La violence continuelle a provoqué l'exode de plus de 300,000 personnes.
Pendant des mois les populations déplacées se sont installées autour des principales villes et des villages des districts de Diffa, Nguimi et Bosso, mais également dans des camps le long de la RN1 qui connecte Diffa et Niamey, la capitale du Niger.
Les déplacés vivent dans des conditions très précaire. la majorité sont des pêcheurs ou des fermiers, mais pour des raisons de sécurité les autorités nigériennes leur ont interdit l'accès aux rives de la rivière Komadougou où ils menaient leurs activités.
Dans ce contexte MSF supporte plusieurs centres de santé dans la région, et founit des soins médicaux dans plusieurs camps et sites accueillant des personnes déplacées.
Des centaines de familles ont trouvé refuge dans la région de Gueskerou, 35 kilomètres à l'est de Diffa.
Al Hadji Boucar Modu, 40 ans, a quitté son village au Nigéria après une attaque de Boko Haram. Il vit à présent dans un camps pour déplacés près de Baroua, dans le district de Bosso, qui accueille 10,000 réfugiés, rapatriés et déplacés.
Le centre de santé de Ngaroua, à 35 kilomètres à l'est de Diffa, est l'une des multiples structures de santé soutenues par MSF dans la région de Diffa.
MSF apporte son soutien aux principaux centres de soin maternel et infantile de la ville de Diffa ainsi qu'à l'hopital du district de Nguimi.
MSF fournit des soins de santé aux mères déplacées et à leurs enfants, dans différentes structures de santé dans la région de Diffa.
Rambo Daoua, 22 ans, amène sa fille d'un an, Zara Boucar, au centre de santé de Ngaroua. Le bébé souffre de diarrhée et d'une conjonctivite.
Khadija Yana, 35 ans, a huit enfants. Elle vit dans les faubourgs de Ngaroua et a amené sa fille de 10 mois, Fanta Moustapha, au centre de santé du village parce qu'elle souffre d'une conjonctivite et qu'elle a attrapé froid depuis deux jours. ► Consultez notre dossier spécial
Depuis février 2015 la région de Diffa au Niger est devenue la cible d'attaques de l'Etat Islamique dans les Provinces d'Afrique de l'Ouest, connu sous le nom de Boko Haram. La violence continuelle a provoqué l'exode de plus de 300,000 personnes.
Pendant des mois les populations déplacées se sont installées autour des principales villes et des villages des districts de Diffa, Nguimi et Bosso, mais également dans des camps le long de la RN1 qui connecte Diffa et Niamey, la capitale du Niger.
Les déplacés vivent dans des conditions très précaire. la majorité sont des pêcheurs ou des fermiers, mais pour des raisons de sécurité les autorités nigériennes leur ont interdit l'accès aux rives de la rivière Komadougou où ils menaient leurs activités.
Dans ce contexte MSF supporte plusieurs centres de santé dans la région, et founit des soins médicaux dans plusieurs camps et sites accueillant des personnes déplacées.
Des centaines de familles ont trouvé refuge dans la région de Gueskerou, 35 kilomètres à l'est de Diffa.
Al Hadji Boucar Modu, 40 ans, a quitté son village au Nigéria après une attaque de Boko Haram. Il vit à présent dans un camps pour déplacés près de Baroua, dans le district de Bosso, qui accueille 10,000 réfugiés, rapatriés et déplacés.
Le centre de santé de Ngaroua, à 35 kilomètres à l'est de Diffa, est l'une des multiples structures de santé soutenues par MSF dans la région de Diffa.
MSF apporte son soutien aux principaux centres de soin maternel et infantile de la ville de Diffa ainsi qu'à l'hopital du district de Nguimi.
MSF fournit des soins de santé aux mères déplacées et à leurs enfants, dans différentes structures de santé dans la région de Diffa.
Rambo Daoua, 22 ans, amène sa fille d'un an, Zara Boucar, au centre de santé de Ngaroua. Le bébé souffre de diarrhée et d'une conjonctivite.
Khadija Yana, 35 ans, a huit enfants. Elle vit dans les faubourgs de Ngaroua et a amené sa fille de 10 mois, Fanta Moustapha, au centre de santé du village parce qu'elle souffre d'une conjonctivite et qu'elle a attrapé froid depuis deux jours. ► Consultez notre dossier spécial
À lire aussi
Communiqué de presse
Communiqué de presse
Votre générosité nous est essentielle pour sauver des vies. Merci d’apporter une aide vitale à des enfants,
des femmes et des hommes privés de soins !
Rejoignez les professionnels de santé et les équipes non médicales qui ensemble apportent leurs secours aux populations dont la vie ou la santé est menacée.
Un point de vue unique et un compte-rendu régulier de nos actions sur le terrain.